Alerte à un rebond après Pâques: Puig veut un accord national pour limiter la mobilité

Le président ne veut pas perdre la traçabilité qui devrait se rétablir en mars après les dures restrictions.

Des centaines de Valenciens se promènent le long de la plage de la Malvarrosa.

Des centaines de Valenciens se promènent le long de la plage de la Malvarrosa.
EFE

  • Des mesures.


    Prémisse de Puig pour rendre les restrictions plus flexibles: réduire l’incidence accumulée de 85%

La Communauté valencienne ne veut pas l’effort fait tout au long du mois de février pour contrôler la coronavirus et le lent désamorcé que je vais te suivre sauter dans les airs Semaine Sainte, lorsque la situation épidémiologique donne de meilleurs chiffres et appelle ensuite une mobilité. L’objectif fixé par Ximo Puig est de réduire les infections à 50 cas pour 100 000 habitants début mars (un chiffre qui n’a pas été atteint depuis août) pour alléger certaines des mesures strictes imposées depuis la mi-janvier. Désormais, chaque expert vous met en garde contre quatrième vague qui peut arriver au printemps après les vacances de Pâques.

La santé a clairement étudié que le rebond de l’épidémie s’est toujours renforcé après de longs week-ends et vacances. C’est arrivé en octobre, en décembre et en Noël. L’intention est de vous empêcher de recommencer. C’est pourquoi Puig a révélé dans une interview à Europa Press, que la demande d’un accord entre les communautés et le gouvernement dans le Conseil interterritorial de limiter la mobilité car « ça va être un moment très complexe » dans lequel il sera même possible de « perdre la traçabilité » du virus qui sera récupéré avec la chute de cas actuelle.

« Nous pensons qu’il devrait y avoir une position de l’ensemble du système, car il est très important de consolider maintenant. Si nous consolidons, probablement dans les mois à venir nous aurons plus d’occasions d’aller vers la normalisation avec une plus grande vaccination et une plus grande capacité à contenir la pandémie », a-t-il expliqué.

En effet, concernant l’assouplissement de ces mesures que la commission interministérielle étudiera vendredi prochain, Puig souligne qu’il y en aura, mais pas dans tous les domaines. « Il existe une volonté d’agir sur la base de ce que l’on sait déjà pour générer une plus grande sociabilité », a-t-il ajouté. « Un magasin n’est pas la même chose qu’un bar ou un restaurant, entre autres parce qu’ils passent plus de temps ensemble dans un bar et un restaurant et enlèvent le masque », a-t-il ajouté.

Et c’est qu’avant Pâques à Valence et à Castelln les périodes festives et non scolaires de Défauts Oui Magdalena. « Il n’y a pas de Fallas ou de Magdalena et nous devons être conscients qu’il n’y a pas d’espace pour la sociabilité associée à la fête, car il n’y a pas de fête. » « Il y aura une fête quand nous le pourrons », se souvient Puig. « Bien que maintenant il y ait une certaine détente, les parties ne peuvent pas être tenues ni des individus ni des fêtes dans des zones autres que les lieux de divertissement. Nous devons être conscients de la situation: nous sommes meilleurs, mais nous sommes toujours mauvais », a-t-il rappelé.

Trois centres de vaccination de masse

En ce qui concerne la vaccination de masse, qui devrait démarrer à la fin du mois de mars, Puig a déclaré à Europa Press qu’une grande centre de vaccination dans chaque chef-lieu de province et à Elche et, au moins, un espace sera habilité à inoculer des doses dans chaque chef-lieu de comté.

En ce sens, il a indiqué que ce samedi la commission de vaccination se réunira pour discuter des lieux dans lesquels ces centres seront établis et assuré que le hôpitaux de campagne il y a trois espaces qui «sont sûrs d’être utilisés».