Antton Troitio, le membre de l’ETA qui a activé la bombe sur la Plaza de la República Dominicana, meurt d’un cancer

Bien qu’il ait eu des décennies de condamnations en attente, il a été libéré de prison en probation le 5 février en raison de sa maladie.

Antton troiti
Antton Troitio, lors d’un procès devant la Haute Cour nationale en 2018.BASSIN
  • Justice Troitio, de l’ETA, est libéré de prison après que le juge a accepté sa libération conditionnelle pour la maladie dont il souffre
  • Auto La Cour nationale interdit à Troitio de recevoir des hommages ou de faire des déclarations publiques

Le prénom Troïtio Il est enraciné dans le plus sanglant de l’ETA. Malgré leur ascendance Palencia, chacun des deux frères ETA, Domingo (Txomin) et Antonio (Antton), plus de vingt meurtres.

Antton Troitio est décédé dans la ville guipuzcoane de Irn à la suite d’une longue maladie, selon l’environnement de la gauche nationaliste.

Troitio, malgré des décennies de condamnation en attente, a été libéré de prison en probation le 5 février en raison d’un cancer. Il a purgé sa peine dans la prison de Estremera, à Madrid. Auparavant, il était sorti de prison Huelva en 2011 pour une erreur administrative dans le calcul de ses peines, après avoir passé 24 ans de prison, sur les 2 700 auxquelles il avait été condamné pour 22 meurtres.

Lors de l’arrestation de Troitio, un membre de la Commandement de Madrid, quelques jours plus tard, il s’était déjà enfui Londres. Il a de nouveau été arrêté le 5 mai 2017 et emprisonné en 2018, lorsqu’il a commencé à purger une nouvelle peine de près de six ans supplémentaires pour appartenance à une organisation terroriste pour s’être réengagé dans les rangs du gang terroriste après avoir été libéré de prison en 2011 et s’enfuit à Londres.

Antton Troitio a commis son premier meurtre à l’âge de 26 ans, en tuant un boucher en Iran. Ce fut son baptême du feu et la première étape de sa carrière d’assassin, qui fit la mort de gardes, soldats, commandants ou vice-amiraux, en plus de la tentative d’assassinat, en 1986, du procureur général de l’État de l’époque. Luis Antonio Burn.

1986 a été sans aucun doute l’année la plus sanglante. Le 27 avril, il était chargé d’opérer le commandement d’une voiture piégée alors qu’une jeep de la Garde civile passait dans la rue Juan Bravo de Madrid. Cinq officiers ont été tués et quatre autres ont été grièvement blessés.

Le 17 juin de la même année, Antton Troitio tua à nouveau, à cette occasion contre les Armée et aussi à Madrid. Les victimes de cette attaque étaient le commandant Ricardo Senz par Ynestrillas, lieutenant colonel Carlos Vesteiro et le chauffeur Francisco Casillas, ce que faisaient les militaires.

2 700 ans de prison

Le 14 juillet, il participe à son attentat le plus meurtrier, celui du Place de la République Dominicaine de Madrid. C’est lui qui a activé la bombe qui a fait exploser le convoi d’agents, causant la mort de 12 d’entre eux et faisant 60 blessés.

A ses côtés dans ces attentats, deux autres membres historiques de l’ETA : Iaki de Juana Chaos, installés dans Venezuela et dans la recherche et la capture par ordonnance de la Haute Cour nationale pour un crime d’apologie du terrorisme ; et Ins del Ro, celui qui a amené le Doctrine parotienne, et l’a fait annuler en 2013, alors que la Cour constitutionnelle l’avait déjà modifié en 2008.

Troitio a été arrêté en 1987 et condamné à plus de 2 700 ans de prison pour ses 22 crimes. Après 24 ans de prison et une fois le Doctrine parotienne Du côté de la Cour constitutionnelle, la Cour nationale a déclaré sa peine annulée et lui a ordonné de quitter la prison de Huelva, ce qui s’est produit le 13 avril 2011.

Mais Poursuivre il a fait appel de cette libération; les juges l’acceptèrent, comprenant que le comte avait été fait avec des erreurs, et ordonnèrent à Antton Troitio de retourner en prison. Cependant, le membre de l’ETA s’était enfui à Londres.