Aragons prend possession, promettant une amnistie à Junqueras et aux prisonniers du «  procs  »

Il succède à la Torra handicapée

Le président de l’ERC, Sánchez et Cuixart assistent à l’inauguration du président de la Generalitat, qui garantit de les libérer

Torra place le médaillon
Torra place le médaillon du «président» sur Aragon.EFE

Père Aragons a été intronisé aux mains de Quim Torra, un président de la Generalitat disqualifié, et en présence de Oriol Junqueras, un vice-président déposé par impératif constitutionnel, qui purge une peine pour sédition, mais savoure la liberté chaque fois que l’occasion le mérite. L’exceptionnalité catalane est toujours d’actualité.

Trois mois et demi après être devenu le candidat indépendantiste le plus voté et après avoir cédé les domaines les plus pertinents de son gouvernement à JxCat afin de ne pas être contraint à la répétition électorale, le candidat présidentiel de l’ERC a pris ses fonctions, s’éloignant du brochet de son prédécesseur, mais retracer ses objectifs. Aragons a garanti qu’il rendrait l’amnistie et l’autodétermination inévitables. Il l’a fait en présence de Miquel Iceta, Ministre des Affaires catalanes de Pedro Snchez et premier défenseur des pardons comme moyen de résoudre le conflit catalan. Et en l’absence de Vox, Cs et PP, qui ont refusé de participer à l’émission.

La chambre Président de l’ère de procs et le premier en 80 ans d’ERC avait accueilli avec enthousiasme l’octroi éventuel de pardons avant sa prise de contrôle. Nous ne nous opposerons à aucune proposition qui atténue la douleur des prisonniers et de leurs familles. Les pardons seront un pas en avant, a-t-il déclaré quelques heures après son entrée dans le Pati dels Tarongers.

Puis il est revenu aux proclamations maximalistes. Le pays se terminera en République catalane. Nous rendrons l’autodétermination efficace. Nous devons lever la tête et nous ouvrirons la voie à une Catalogne totalement libre. C’étaient quelques-unes des harangues hackneyed qui Jordi Snchez, l’émissaire de Puigdemont, il a pu entendre à la première personne, se prévalant également de l’approbation des services pénitentiaires de la Generalitat, ce qui a permis Jordi Cuixart compléter le trio de prisonniers du gala.

Le gouvernement du Père Aragones

L’inspection d’Aragon a commencé lors de l’inauguration complète, s’est poursuivie hier, lors de l’inauguration, et sera consommée à partir de mercredi, lorsqu’un gouvernement appelé à fonctionner renaîtra pour la première fois, souscrivant à la méfiance qui a déjà fait le précédent. imploser.

Dans le seul but d’empêcher le chef de l’exécutif catalan de gouverner en toute autonomie, un président livré au puigdémonisme lui sera imposé. Jordi Puigner, père de la NASA catalane, a été ratifié hier comme vice-président du gouvernement, ou ce qui est pareil, comme lien du fugitif dans le cabinet d’Aragon; celui chargé de télégraphier les intentions du républicain afin qu’elles puissent être façonnées, modifiées ou même boycottées depuis Waterloo.

Bien que diminué par le refus de ses plus proches collaborateurs de s’impliquer dans le marquage d’Aragon depuis l’intérieur du gouvernement, Puigdemont a pu trouver des fidèles prêts à exécuter ses ordres à distance. C’est le cas de Puigner et aussi celui de Lourdes Ciur, ancienne députée au congrès du PDeCAT qui a quitté son parti pour rejoindre JxCat, et qui voit désormais un prix pour sa marche avec le ministre de la Justice, dont elle souhaite continuer à privilégier les prisonniers.

Pour faire contrepoids aux envoyés de Puigdemont, Aragons s’est entouré de Laura Vilagr, un étranger à qui sont attribuées les conditions de la plomberie politique et qui, de la part du Ministre de la Présidence, agit comme bras droit du Président. Le directeur général trouvera également un soutien dans Roger torrent, qui occupe une place prépondérante dans son noyau décisionnel, bien qu’il ait été relégué au poste de conseiller d’entreprise après avoir présidé le Parlement.