Dossier sur un morceau de l’affaire de corruption Invercaria qui faisait l’objet d’une enquête depuis neuf ans

Le tribunal de Séville décrète le « manque de légitimité » du PP pour accuser dans le morceau de Kandor Graphics, la société de production liée à Antonio Banderas qui a reçu 1,4 million d’Invercaria

Sur la droite, P

A droite, Prez-Sauquillo, lors d’un procès à l’Audiencia.
E. PRESSE

  • Graphiques Kandor.


    La lutte contre la corruption qualifie l’action du Conseil de « schizophrène » en raison de la corruption d’Invercaria
  • L’enquête.

    Le juge porte plainte contre deux anciens présidents de l’Invercaria pour le prêt au producteur lié à Antonio Banderas

Lorsque le procès était sur le point d’avoir lieu et après neuf ans enquête à la Cour d’instruction, le tribunal de Séville vient de mettre de côté une pièce détachée de la macrocause de corruption d’Invercaria, la société de capital-risque de la Junta de Andaluca qui, à l’époque des précédents gouvernements socialistes andalous, a fait des investissements ruineux et incontrôlés dans projets commerciaux échoués.

La pièce archivée est celle référée au producteur de Grenade Graphiques Kandor, lié à l’acteur de Malaga Antonio Banderas. Cette société a reçu d’Invercaria un total de 1 498 000 euros pour faire un film d’animation. Dans ce document, l’ancien président d’Invercaria a été accusé Toms Prez-Sauquillo et un administrateur de la société de production.

La septième section de l’audience a décrété le rejet gratuit ou le dépôt de l’article sur Kandor Graphics parce que le PP était la seule accusation privée qui accusait les deux enquêtés, mais le procureur anticorruption ni les deux entreprises publiques du conseil ne l’ont pas fait. c’étaient les parties prétendument blessées.

Pour cette raison, l’Audition déclare le manque de légitimité du PP à porter plainte et décrète le rejet gratuit de l’affaire en raison de l’absence d’accusation publique ou privée.

L’affaire sera donc archivée, bien que le juge d’instruction ait apprécié les indications de prévarication et détournement de fonds car il y avait un manque d’information sur la situation de Kandor et un très mauvais suivi des investissements et des prêts, sans compter que, d’après le peu de documentation existant dans les dossiers respectifs, il y a des indications que les dates peuvent avoir été modifiées ou qui ont mis le logo d’une autre entité assumant l’élaboration comme propre d’Invercaria.

Malgré ces indications, le Procureur, le Agence IDEA et Inverseed, la société publique qui a rassemblé l’œuvre d’Invercaria, n’a apprécié aucun crime, ni n’a accusé personne, ce qui a finalement fait en sorte qu’elle soit mise de côté. Pour le procureur anticorruption, le cas de Kandor diffère du reste des pièces d’Invercaria car il y avait une société qui a achevé le projet, bien qu’avec peu de succès commercial, et il y a eu une analyse préalable du projet par la société publique de capital-risque. Par conséquent, il n’a vu aucun crime d’aucune sorte.

Attitude «schizophrène»

Lors de l’audience tenue le 24 mars à l’audience, pour déterminer si le procès a eu lieu ou non, Anti-Corruption en est venu à qualifier de schizophrène l’action de l’administration andalouse dans le cas d’Invercaria, puisque, à travers cette société publique, a demandé le fichier pièce de Kandor Graphics. D’autre part, le PP andalou, qui co-gouverne avec les citoyens au conseil d’administration et est présent dans la cause, a maintenu la position opposée, accusant et demandant la tenue du procès.

En effet, dans l’ordonnance qui décrète la révocation, l’Audition souligne qu’il ne faut pas oublier que, comme l’a souligné le procureur dans son rapport, l’accusation populaire dans ce processus est exercée par un parti politique qui tient le gouvernement du prétendu blessé. parti, la Junta Andalusia, dont les intérêts sont défendus par les deux accusations privées [Inverseed e IDEA] qu’ils n’ont apprécié la commission d’aucun crime.

La macrocause d’Invercaria a commencé à faire l’objet d’une enquête en 2012 par la Cour d’instruction 16 de Séville, dirigée par le juge Juan Gutirrez Casillas.

Précisément le 29 juin 2012, le juge a reçu une lettre du procureur anticorruption dans laquelle il demandait au Conseil de réclamer les dossiers d’aides accordées par Invercaria à 34 entreprises, dont Kandor Graphics.

Dans l’article de Kandor, les anciens présidents d’Invercaria sont également apparus comme enquêtés Laura Gmiz et Francisco lvaro Julio, bien qu’en janvier 2020, le juge ait déposé plainte contre eux car aucune des accusations ne les a signalés.

La septième section regrette maintenant que le juge d’instruction ait pu et dû entrer pour analyser l’éventuel manque de légitimité du PP avant que l’affaire n’atteigne l’audience pour la tenue du procès. N’oubliez pas que l’intérêt public était représenté dans ce cas par Anti-Corruption.