Il assure qu’il ne convoque pas d’élections et qu’il veut, après la dure année de la pandémie, pouvoir exécuter des fonds européens
Les élections madrilènes sont dans un mouchoir. Telle était l’opinion de la CEI lors de son sondage pré-électoral et c’est aussi l’opinion du Premier ministre. Pedro Sánchez estime que les deux blocs, la gauche et la droite, sont à égalité et que le 4 mai tout peut arriver car les élections seront décidées par l’électeur du centre.
C’est la thèse qu’il a défendue hier dans une conversation informelle avec des journalistes, lors de son voyage en Angola et au Sénégal, dans laquelle il a également absolument rejeté son intention de faire avancer les élections. Il est toujours déterminé à épuiser la législature jusqu’en 2023 et à profiter de tout ce temps pour exécuter les fonds européens qui aspirent à transformer l’économie espagnole. Comme si ce changement radical de production était le prix final de cette année difficile que la pandémie a signifiée.
Et il lui est difficile de comprendre pourquoi il pense vouloir convoquer des élections le plus tôt possible, alors qu’il a à peine pu savourer la législature en raison de l’épidémie du coronavirus. Aujourd’hui, face à cette période de calme à laquelle il aspire, seuls les groupes autonomes se dressent sur le chemin. Madrid. Un rendez-vous qu’il ne voit pas gagné pour Ayuso et dans lequel il voit la gauche aussi mobilisée que la gauche. Il partage seulement qu’il y a moins d’indécision à droite.
Snchez estime qu’en dépit d’être un mardi, le rendez-vous avec les urnes enregistre une forte participation, une idée qui ces derniers jours a commencé à faire son chemin, et que, comme cela s’est produit en 2015 et 2019, les élections seront décidées de longue date. petit, un ou deux sièges. À son avis, c’est ce qu’il appelle l’espace central, fondamentalement ceux qui ont précédemment voté pour les citoyens, qui décideront s’il y a un gouvernement conservateur ou progressiste.
Et cela correspond à la stratégie qui, contrôlée par Moncloa, a lancé le candidat socialiste, Angel Gabilondo, qui, selon le président, a modéré la gauche. Et c’est exactement ce que le 4M leur permet de concurrencer. Malgré l’annonce de Gabilondo qu’il ne sera pas d’accord avec Pablo Iglesias et le fera avec Mme Pas et RessortissantsSanchez ne place pas le leader d’Unidas Podemos dans une stratégie de confrontation avec le PSOE.
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