Tous les partis dépeignent la mauvaise gestion de la pandémie du candidat socialiste et les candidats indépendantistes n’utilisent que le catalan dans une émission d’État
Le séparatisme est venu à TVE pour défendre la validité de son projet monolingue pour la Catalogne. Les candidats de JxCat, ERC, CUP et PDeCAT ont refusé d’utiliser l’espagnol dans le débat électoral organisé ce dimanche par la chaîne publique publique et diffusé dans toute l’Espagne. La présidentielle de la commun, Jessica Albiach, et celle du PSC, Salvador Illa, ont alterné le castillan et le catalan pour empêcher le nationalisme de remettre en cause leur catalan.
Mis à part les aspects linguistiques, Illa a été la cible de toutes les attaques, à la fois du centre constitutionnel droit et du mouvement indépendantiste. Aucun des prétendants n’a gaspillé la présence de l’ancien ministre de la Santé pour lui reprocher sa mauvaise gestion face à la pandémie ou son abandon du portefeuille pour projeter l’assaut socialiste sur la Generalitat.
Inévitablement, vous verrez l’essentiel du débat sur la propagation du virus, et il était inutile que le président socialiste vienne promettre de débarquer aux Palaos avec un plan de vaccination qui garantirait la vaccination des Catalans. Que Dieu nous fasse avouer s’il est venu en Catalogne pour prendre soin de la santé des Catalans. Il a connu un niveau d’incompétence sans précédent dans tous les pays de l’UE, s’est exclamé le candidat du PP, Alejandro Fernndez.
2021 sera l’année de la vaccination et de la guérison, a répété Illa avec insistance pour se protéger et en même temps admettre qu’elle est venue à la course électorale catalane pour utiliser la propagande gouvernementale en faveur de la candidature socialiste.
Abasourdi, l’aspirant des citoyens a déclaré Carlos Carrizosa, en entendant Illa prescrire l’humilité aux personnes présentes, tandis que le candidat Vox, Ignacio Garriga, a désigné le PSC comme le principal ennemi de la santé des Catalans. Plus tard, il n’a pas pu expliquer pourquoi sa formation favorisait la distribution de fonds européens pour la reconstruction post-pandémique conçue par Sánchez.
Le sécessionnisme n’a pas non plus oublié d’être utilisé contre Illa. L’aspirant ERC, Père Aragons, a demandé au ministre-candidat à la vaccination de la direction militaire, et celle de JxCat, Laura emprunte, a fait valoir que les Catalans avaient été contraints d’être plus espagnols dans la pandémie, flirtant avec la célèbre sentence prononcée par le porte-parole du gouvernement, Mertixell Bud, qui, lors du premier état d’alarme, avait prédit qu’avec l’indépendance, la Catalogne aurait enregistré moins de décès dus à Covid.
Illa maintiendra vivant le « dialogue » avec le sécessionnisme
Au niveau territorial, Illa a ratifié que le Gouvernement maintiendrait vivante la table des négociations avec le Gouvernement pour maintenir le dialogue avec le sécessionnisme. Retire le candidat socialiste à l’indépendance de s’engager à respecter la loi pour se plonger dans ces conversations et obtenir le silence pour une réponse. Cela doit être résolu en votant lors d’un référendum sur l’amnistie, rebati Aragons. La limite ne peut pas être la Constitution, elle ajoute la néoconvergent Vous effacez puis vous vous engagez à réactiver la déclaration unilatérale d’indépendance si le sécessionnisme dépasse 50% des voix.
Carrizosa a fait un effort pour essayer d’amener Illa à exclure une tripartite avec ERC pour opter pour un gouvernement avec des citoyens. Mais seulement Aragon, pas le socialiste, a nié cette éventuelle alliance. Il va de nouveau tromper les Catalans puis livrer ses votes à l’ERC, a prédit le populaire Fernndez.