Heures décisives dans le cas d’Esther López, portée disparue depuis 15 jours

Demain, vendredi, à 9h00, s’achève la prolongation de 72 heures accordée par le juge pour décider de la libération ou de l’incarcération du seul détenu, pour laquelle le travail des agents avec les indices et prélèvements collectés ces jours-ci sera déterminant. . tu donnes

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Des agents de la Garde civile recherchent Esther ces jours-ci.ral garcaEFE
  • Valladolid Le père d’Esther López, portée disparue à Traspinedo depuis 12 jours : « C’est comme avoir un poignard coincé »
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Agents déployés dans Traspinedo et le service criminalistique de la garde civile de Madrid travaillent contre la montre une fois terminée l’inspection du domicile de la détenue pour la disparition d’Esther López il y a 15 jours, alors qu’il reste un peu plus de 24 heures au tribunal pour décider sur l’affaire. sa libération.

La recherche des femmes 35 ans, continue dans cette ville d’environ un millier d’habitants qui se trouve à vingt-cinq kilomètres de la capitale de Valladolid.

Les unités cynologiques de la Garde civile, dont celles basées à El Pardo, à Madrid, spécialisées dans les restes biologiques et qui ont participé à la recherche de Diana Quer et l’enfant Gabriel, Ils ont travaillé sur la localisation de la personne disparue, en collaboration avec l’Unité de chiens dressés de Castilla y León, basée à Zamora.

Ils fouillent la maison de Ramón « le bricoleur », le détenu pour la disparition d’Esther López

Le Groupe spécial pour les activités sous-marines (GEAS), les drones et les hélicoptères se sont joints à ces travaux, qui ont été menés parallèlement à l’inspection technique oculaire du domicile de la personne arrêtée, un homme de 48 ans, surnommé El Manitas, qui vit dans une villa à la périphérie de Traspinedo.

Là, les agents ont terminé l’inspection technico-oculaire hier après-midi, tandis qu’à Madrid, le service de criminalistique de l’institut armé analyse les matériaux collectés par les agents.

La Garde civile a arrêté cet homme samedi dernier, avant son départ pour Cuba, un voyage que, selon son avocate, Lorena Iglesias, elle a fait à d’autres occasions. Il a refusé de témoigner et a entamé une grève de la faim pour protester contre son arrestation.

Demain, vendredi, à 9h00. Fin de la prolongation de 72 heures accordée par le juge pour décider de sa libération ou de son admission en prison, pour laquelle le travail des agents avec les indices et prélèvements collectés ces jours-ci sera décisif.

Le père d’Esther López : « C’est comme avoir un poignard coincé »

Esther López a été vue pour la dernière fois le 12 janvier à Traspinedo, à un carrefour de la N-122, à côté d’un restaurant, moment auquel son téléphone portable a cessé d’émettre un signal.

Le 17 janvier, la famille, qui pensait que la jeune femme était avec un ami depuis le 12, dénonçait son absence et commençait les recherches avec l’aide de voisins.