Juan Jos Corts, arrêté et libéré après avoir été dénoncé pour agression

Apparemment, l’attaque s’est produite à la gare de Séville Santa Justa, après que la plaignante eut insulté sa fille Mariluz, décédée en 2008.

Juan Jos
Juan Jos Corts dans une image de 2019.J. YAEZ
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La polémique entoure Juan Jos Corts, le père de la petite Mari Luz et l’un des parents du prison permanente révisable, après qu’il aurait agressé une femme à Séville qui devait être hospitalisée. La raison en aurait été, apparemment, que cette femme s’était auparavant moquée et insultée de sa fille sur les réseaux sociaux.

C’est arrivé ce lundi dans le Gare de Santa Justa de Séville vers 18 heures et la rencontre entre les deux aurait été accidentelle. L’attaque s’est produite à l’intérieur de la gare de la capitale andalouse et, plus précisément, dans l’un des magasins de la ville. Les caméras de surveillance du complexe auront capturé toute la scène.

La victime présumée a raccroché sur son profil sur le réseau social TIC Tac une vidéo prise dans la même ambulance dans laquelle elle a été transférée après l’attaque et dans laquelle elle a dénoncé avoir été agressée par le père de Mari Luz. Il s’est approché de moi avec un bâton et m’a ouvert la tête, a raconté la femme dans cette vidéo, qui insiste alors sur le fait que ma tête est ouverte et Juan José Corts m’a brutalement agressé et a ajouté qu’il l’avait précédemment dénoncé pour menaces de mort.

Selon des sources du Corps de la police nationale, Corts était arrêté Immédiatement après l’attentat, il s’est produit dans la même gare pour un délit présumé de blessure et a été conduit au commissariat, où il a passé la nuit en cellule avant de passer, tôt ce matin, à la disposition du tribunal de garde.

Pour sa part, de la Cour supérieure de justice d’Andalousie (TSJA), ils ont signalé que le chef de la Cour d’instruction 9 de Séville a ordonné la mise en liberté provisoire, avec charges, de Corts.

Ce n’est pas la première fois que le père de la petite Mari Luz a problèmes avec la justice et est impliqué dans de violentes altercations.

En septembre 2011, Corts a été accusé par son oncle d’avoir mis à la porte contre sa maison, où se trouvaient jusqu’à quinze personnes à l’époque, après avoir tous deux eu un entretien téléphonique.

Corts a été accusé par le procureur malgré le fait que son oncle a abandonné et est venu s’asseoir sur le banc en 2014 accusé de homicide en degré de tentative, possession illégale d’armes à feu et menaces.

Cependant, le tribunal provincial de Huelva n’a pas vu sa participation prouvée à la fusillade survenue dans le quartier El Torrejn de la capitale Huelva, où vit Corts et où Santiago del Valle a assassiné sa fille en 2008.

Corts était l’une des signatures vedettes du PP de Pablo Casado et est devenu adjoint, bien que plus tard, il ait été exclu de la politique après avoir été radié des listes du Congrès et n’avoir pas été élu dans celles du Sénat.