La Cour suprême demande à la Cour des comptes de rendre compte de l’argent détourné dans le «  procs  »

Cette demande a été sollicitée par le Procureur de la République en relation avec le dossier qui est suivi des demandes de grâce desdits condamnés, pour y être incorporée.

La Cour suprême, présidée par Manuel Marchena, lors de la ...

La Cour suprême, présidée par Manuel Marchena, lors du procès des «procs».
BASSIN

  • Tribunaux.


    La Cour suprême demande au procureur de l’État de faire rapport sur l’octroi de grâces aux dirigeants du «  procs  »
  • Procs.

    Le parquet dénonce les grâces du 1-O: « Il ne s’agit pas d’une mesure pour satisfaire des intérêts politiques temporaires »

Le tribunal de l’affaire de procs La Cour suprême a demandé à la Cour des comptes un rapport sur les procédures de responsabilité comptable qui, en ce qui concerne les personnes condamnées dans cette affaire, sont en cours de traitement en raison des dépenses occasionnées par le référendum illégal de la 1-O à partir de 2017 Catalogne.

Cette exigence a été demandée par le Procureur d’État par rapport au dossier qui est suivi des demandes de pardon desdits condamnés, à y intégrer.

Plus précisément, le Salle II de la Cour suprême, par l’intermédiaire d’un bureau, demande un rapport du Section des poursuites de la Cour des comptes sur les actions antérieures ou autres procédures de demande de responsabilité comptable qui sont en cours de traitement en raison de ces dépenses, avec la remise des témoignages du procès-verbal de liquidation provisoire.

En particulier, celle du 28 janvier 2020, pour prouver si l’acompte ou la garantie du montant de 4,1 millions d’euros.

Le procureur de la République a demandé à la Cour suprême de prendre en compte l’argent détourné et si elle avait indemnisé l’État pour les dommages causés dans sa décision de grâce aux personnes condamnées par le processus souverain catalan.

L’avocat a donc demandé à la Cour suprême d’incorporer dans le dossier de grâce la documentation qui se trouve dans le dossier de la Cour des comptes sur la responsabilité comptable des condamnés.

La Cour suprême n’a pas tranché dans l’affaire qui a suivi contre les douze dirigeants de la procs le montant économique du détournement de fonds, ne l’a placé que largement au-dessus du 250 000 euros qui marquent le type aggravé.

Il correspond à fixer le montant et à exiger les responsabilités comptables des personnes condamnées pour détournement de fonds devant la Cour des comptes, qui a toujours le dossier ouvert.

Pour cette raison, le procureur de la République – qui était partie au procès précisément en raison des dommages causés aux coffres publics par la tenue du référendum illégal le 1er octobre – veut maintenant que la Cour suprême tienne compte de la question de savoir si les condamnés ont dommages lors du rapport sur les pardons demandés.

La Cour suprême, en tant que juge de la peine, doit présenter au gouvernement son rapport sur la demande de cette mesure de grâce, dont l’octroi dépend de la Conseil des ministres.