Le mineur qui a dénoncé un viol multiple à Burjassot retire l’accusation contre trois détenus mais met en cause trois autres jeunes

Le mineur qui aurait été victime d’une agression sexuelle collective en mai à Valence ne désigne pas le seul adulte, qui a été arrêté mercredi dernier

Les cinq mineurs ont été libérés le 20 mai.
Les cinq mineurs ont été libérés le 20 mai.EFE
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C’est arrivé à la mi-mai, cela a coïncidé dans le temps avec une autre plainte d’agression sexuelle multiple à Castellón et aussi avec l’approbation, quelques jours plus tard, de la loi qui réglemente le consentement en Espagne ou la loi Yes is Yes. Cinq mineurs et un adulte ont été identifiés par le mineur également UN. le 16 par un viol collectif présumé dans la ville valencienne de Burjassot. Les cinq mineurs ont été arrêtés deux jours plus tard et le juge a ordonné leur libération surveillée et l’éloignement du mineur.

Le seul adulte a été arrêté ce mercredi mais un mémoire de la défense présenté hier et auquel EL MUNDO a eu accès étoffe la plainte et demande que, sur les six personnes impliquées, trois cessent de l’être et que l’une d’elles soit la dernière détenue qui, à ce jour, continue d’être détenue au commissariat. paternel (Valence), attendant d’aller au tribunal. En outre, Si la demande de la défense est acceptée, trois autres personnes se joindront au processus.dont on ignore pour le moment s’il s’agit d’adultes ou de mineurs.

Selon les sources consultées par ce journal, ils seraient membres du même groupe d’amis et du même quartier. Dans le mémoire en défense, représenté par Manuela Muoz Sanchez (Vanguard Abogados), on peut lire que des identifications photographiques qui ont été effectuées le jour des événements, une fois examinées avec temps et soin, mon client montre un désaccord avec certains d’entre eux, comme déjà indiqué le jour en question. qu’on leur a montré les photographies, car malgré le fait qu’il ait exprimé son insécurité avec certaines identifications, ces manifestations ne sont pas collectées, donc, afin de ne pas causer de douleur inutile à ceux qui n’y sont pour rien, nous procédons à clarifier qui il reconnaît.

Il faut se rappeler que Le mineur avait 12 ans au moment des faits. et que, quelques jours plus tard, il a eu 13 ans ; Les mêmes que l’amie a avec elle se sont rendus à Burjassot le 16 mai pour rencontrer, selon leurs déclarations, deux des prévenus, LCS et IGG As, des cinq jeunes qui ont été acclamés à la sortie de la Cité de Justice de Valence par des amis et des proches qui ont clamé leur innocence le 20 mai, deux d’entre eux -JVP et JMG- ne seraient plus dénoncés par le mineur qui aurait été victime de multiples viols.

L’autre mineure impliquée dans l’agression sexuelle présumée aurait été violée mais seulement par l’une des personnes impliquées. Concernant le mineur A. Il existe un rapport médical auquel ce journal a eu accès précisant, entre autres, qu’il évoque des maux de dos et des ecchymoses qui y sont observés après des agressions sexuelles récentesainsi que des ecchymoses lombaires liées à une agression sexuelle

De plus, dans le rapport d’urgence de A. daté du 17 mai, il est indiqué que le motif est une agression sexuelle et que étaient restés avec deux personnes de l’ethnie gitane, qui les ont emmenés dans une maison abandonnée où se trouvaient 8 autres personnes de l’ethnie gitane.. Après son arrivée à la maison, elle rapporte qu’ils ont d’abord agressé sexuellement son amie, qu’ils ont pu s’échapper, puisOui, ils lui ont pris contre son gré, ses bras et ses jambes (…) ainsi que la pénétration par 2 personnes différentes sans utiliser de protection, selon la documentation. .

Mais la lettre d’hier avertit que la victime ne reconnaît pas JVP comme participant aux événements (Photocomposition 12, photographie 6), photographie qui n’est signée que par le mineur et non ratifiée par la mère en raison d’une identification douteuse. .Il ne reconnaît pas non plus IF C en tant que participant.. (Photocomposition 17, photographie 3) [el nico mayor de edad]photographie qui n’est signée que par le mineur et non ratifiée par la mère en raison d’une identification douteuse. Il ne reconnaît pas non plus JM G comme participant (Photocomposition 9, photographie 3), photographie qui n’est signée que par le mineur et non ratifiée par la mère en raison d’une identification douteuse.

Oui la roue de reconnaissance est demandée pour le lendemain 16 pour FC, M. M et D : Le mémoire de défense fournit trois photographies obtenues à partir de profils publics où [la menor] s reconnaît certains de ses agresseurs, notamment FC, MM et D., dont nous ignorons le nom de famille.

« Allez, champions ! » Ce n’était qu’une des phrases que les cinq mineurs initialement détenus ont entendues lors de leur libération conditionnelle. Une centaine de personnes les attendaient et l’une d’elles a même été portée sur leurs épaules au grand étonnement des agents de la Police Nationale qui y étaient déployés. Pour les mineurs qui restent en liberté surveillée, la défense de la victime présumée demande « l’internement dans un centre pour mineurs pendant six mois avec possibilité de prolongation de trois mois supplémentaires ».

Sur les cinq arrêtés à l’origine, deux mineurs ont admis avoir eu des relations sexuelles avec les deux mineurs dans une déclaration devant le parquet, mais qu’ils y avaient consenti. Un troisième a assuré qu’il était parti lorsqu’il a vu ce qui se passait, sans participer, et deux autres ont nié avoir été dans la maison abandonnée où les attaques présumées se sont produites.

Sur ces mineurs, âgés de 15 à 17 ans, il existe également une ordonnance d’éloignement prononcée par le Tribunal de la jeunesse. Deux d’entre eux, ceux qui répondent aux initiales L. et I., s’étaient rencontrés via le réseau social Instagram et, bien qu’ils affirment que le sexe qu’ils ont eu était consensuel, cela ne les exemptera pas d’avoir commis un crime d’abus sexuel, lorsqu’il s’agit de mineurs de moins de 16 ans, on considère qu’ils ne peuvent donner aucun consentement.

Il se trouve d’ailleurs que Bien que les versions des filles ne coïncident pas complètement, elles coïncident en ce qui concerne le viol collectif de l’une d’entre elles, A.. C’est l’autre mineur qui a envoyé à un troisième ami une vidéo via WhatsApp dans laquelle on pouvait voir une maison abandonnée et entendre des voix. Les deux mineurs étaient venus avec deux des mineurs identifiés et, devant l’arrivée d’autres jeunes, ces derniers ont réussi à s’enfuir.