Le procureur demande à porter plainte pour le viol de trois sœurs américaines à Murcie alors qu'elles n'ont pas constaté de violence ou d'intimidation

samedi
17
octobre
2020

17:10

Il accepte la levée des mesures conservatoires à l'encontre des trois accusés, de nationalité afghane, mais s'oppose à accuser les jeunes femmes de fausses accusations

Les Afghans dénoncés par les trois sœurs américaines à Murcie.

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E. M.

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La Poursuivre a demandé à archiver le dossier ouvert contre trois jeunes femmes de nationalité afghane dénoncées pour viol par trois sœurs américaines, notant qu'il n'y avait pas eu de violence ou d'intimidation dans les relations qu'elles ont eues le 1er janvier dans les maisons où elles résident Murcie.

Dans un rapport auquel Efe a eu accès, le ministère public demande au juge d'instruction d'accepter le rejet provisoire de la procédure, et indique qu'il ne s'oppose pas à ce que, en s'y prononçant, la levée des mesures des mesures de précaution qui pèsent sur l’accusé.

Ces précautions, imposées par le tribunal de garde lors de leur arrestation quelques heures après la plainte, comprenaient le retrait du passeport, l'interdiction de partir Espagne et apparitions périodiques dans les bureaux de la justice.

Concernant la demande de la défense des jeunes pour qu'il soit convenu de déduire un témoignage contre les sœurs par de fausses accusations, le Procureur s'y oppose, faisant remarquer qu'il n'a pas été démontré qu'ils ont agi dans le but délibéré d'être faux lorsqu'ils ont dénoncé en commettre les faits qu’ils prétendaient avoir subis.

Le rapport du ministère public, publié au vu des tests effectués et, surtout, des déclarations faites par les sœurs il y a un mois lorsqu'elles ont ratifié leur plainte, dit qu'il n'est pas apprécié dans les actions qu'il y ait eu des agressions ou abus sexuels.

Ainsi, il évoque l'attitude affectueuse dans laquelle l'un d'eux et son compagnon sont vus quittant le pub de Murcie où ils ont assuré que des relations sexuelles non consensuelles avaient commencé, des images recueillies à partir du téléphone portable de l'un des accusés.

Et il ajoute que, dans la façon dont ils semblent s'embrasser, il n'y a pas de «réticence» en elle ni de manifestation de désapprobation.

Elle ne considère pas non plus que les relations entretenues dans les appartements dans lesquels ils résident n'étaient pas consensuelles.

Il indique également que l'attitude cordiale dans laquelle ils se présentent tous à la gare routière de Murcie, où ils, de nationalité afghane, les avaient accompagnés pour les licencier, supprime l'idée qu'ils ont eu des relations sexuelles forcées.

Dans la lettre dans laquelle les défenses des sœurs s'opposaient au dépôt de la procédure, leurs avocats, Mariano bo Oui Paul Martnez, a estimé qu'il existe des indications suffisantes pour poursuivre l'affaire.

Et ils ont ajouté que, bien que ce que chacun d'eux ait dit lors de la ratification de la plainte par visioconférence ne soit pas uniforme ou coïncident dans tous les extrêmes, cela était dû à la perception personnelle qu'ils avaient individuellement de ce qui s'était passé.

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