Le TSJ des îles Canaries refuse d’instaurer un « couvre-feu » dans les îles

les îles Canaries
Une femme marche à Santa Cruz de Tenerife.EFE

le Cour supérieure de justice des îles Canaries (TSJC) a rejeté la demande du gouvernement régional de limiter la mobilité entre 00h30 et 06h00 dans les îles au niveau 3 4, selon des sources judiciaires.

La demande du Gouvernement des îles Canaries Il a eu un rapport favorable du parquet et n’était applicable que sur l’île de Tenerife, qui est au niveau 3 en raison de l’augmentation des infections enregistrées ces dernières semaines.

La deuxième section de la Chambre contentieuse-administrative du TSJC à son siège à Santa Cruz de Tenerife nie le couvre feu argumentando que esta medida « no est debidamente justificada » y porque no se aprecia « ningn motivo en cuya virtud pueda defenderse que las conductas de riesgo resulten an ms peligrosas si se ejecutan en horario nocturno o las inocuas dejen de serlo porque el da d paso a la nuit ».

Ajoutez la pièce qui sera un « véritable confinement pour la seule raison de l’horaire » et indique que si l’intention est d’éviter certains comportements pouvant présenter un plus grand risque pour la santé publique, « les pouvoirs publics disposent d’autres instruments juridiques d’intervention moins dommageables, tels que ceux inclus dans la loi sur les activités classifiées et montrent des mesures administratives, ou les dispositions de la loi pour la protection de la sécurité des citoyens, entre autres. »

Pour justifier davantage sa décision, la Chambre rappelle les arrêts de la Cour suprême qui rejettent également la couvre feu dans plusieurs régions autonomes, comme ce fut le cas aux Baléares après la fin de l’état d’alerte.

Le TSJC ne doute pas de l’adéquation de la mesure de « couvre-feu » pour réduire la contagion sans affecter l’activité économique et du travail, mais « la fin ne justifie aucun moyen et l’accord adopté est excessif et au prix de de graves dommages à la grande majorité de la population, y compris la jeune femme, qui se conforme aux règles afin d’éviter ces manquements, dont la prévention et la répression correspondent aux forces et organes de sécurité de l’Etat, devant déployer l’action nécessaire pour l’éviter et le corriger s’ils n’ont pas été d’autres moyens préventifs ou dissuasifs ».

Pour toutes ces raisons, la Chambre considère que « la restriction de la liberté de circulation pour empêcher les grandes bouteilles dans l’espace public » est proportionnée et ajoute que il n’est pas établi que la situation dans laquelle l’épidémie est « représente un danger si grave et imminent pour la santé et la capacité de soins qui justifie cette exception, le fait de disposer de moyens ordinaires moins restrictifs des droits fondamentaux pour résoudre le problème qui se pose, de sorte que c’est la responsabilité individuelle et la maîtrise de soi de la raison. pour avoir respecté les mesures dans leur propre intérêt et pour leur devoir de ne pas nuire à autrui ».