Le TSJC enquête sur un député et candidat du PP pour une agression sexuelle contre le secrétaire à l’égalité du parti en Catalogne

La plaignante affirme que depuis l’attaque présumée, ils lui ont rendu «la vie impossible, tant sur le plan politique que personnel» au sein du parti

Serrano au Parlement

Serrano au Parlement
ANTONIO MORENO

Scandale judiciaire à la veille du concours électoral dans le PP de Catalogne. La Cour supérieure de justice de Catalogne (TSJC) tient une enquête ouverte contre le député au Parlement et secrétaire général du PP catalan Daniel Serrano pour un crime d’agression sexuelle et deux autres pour blessures mineures. Soi-disant, il les aurait engagés sur un partenaire de la direction du parti, le secrétaire du domaine de l’égalité et membre du comité exécutif du PP en Catalogne, co

n celle qui a eu «une relation amoureuse sans engagement de coexistence et avec des relations sexuelles sporadiques» qui a débuté en 2015 et s’est terminée en 2016, sans être expliquée à personne de son entourage. La plainte déposée par la victime, d’abord devant un tribunal de violence contre les femmes numéro 2 de Barcelone, bien que l’affaire ait été renvoyée devant le tribunal d’instruction numéro 30 de Barcelone, considérant qu’il n’y avait pas de relation entre un couple, indique qu’à cette époque l’accusé il aurait soumis son collègue membre du parti à des «violences physiques, verbales et psychologiques». Ainsi, il est indiqué qu’entre mars et juin, il a causé des blessures mineures, qui ont causé des ecchymoses sur la femme, alors qu’ils avaient des rapports sexuels, et qu’ensuite elle lui a demandé des explications par message sur téléphone portable mais qu ‘«il évitait de donner». Dans sa plainte au tribunal, la femme pensait que ces épisodes violents étaient des «exceptions» en raison de la relation personnelle et politique qu’ils entretenaient, puisqu’en public elle n’avait pas un comportement aussi violent. Cependant, la victime a dénoncé que le 13 novembre 2016 l’accusé «sans consentement ni accord préalable» l’avait forcée «de manière violente, maintenant une relation de sexe violent et agressif» chez elle. À la suite de cette agression sexuelle, la femme a subi des blessures qui ont causé des ecchymoses et des érosions, en tant que photographe et accompagnée dans la plainte, et dont il a fallu des semaines pour guérir. Comme lors d’occasions précédentes, il a également demandé des explications à son partenaire du parti et il n’a pas voulu les donner. Malgré cela, en mai 2017 « profitant d’une réunion politique », le responsable de l’égalité du PP lui a de nouveau demandé des explications cette fois personnellement « et selon la femme l’accusé a » menacé « de lui rendre la vie impossible » à la fois politiquement et personnel « au cas où elle le dénoncerait. En ce sens, la plainte indique que lors de cette réunion, le secrétaire général du PP catalan l’a accusée » de vouloir le faire chanter, minimisant les blessures « ainsi que son » comportement agressif et violent dans la relations sexuelles « en veillant à ce que les photos ne soient pas celles-ci, mais » téléchargées sur internet « . » Je suis avocat et des cas comme le vôtre j’en ai pris 600 et j’ai gagné. Vous voyez ce qui m’inquiète », dit la plainte que l’accusé a confiée à son collègue de formation politique. À l’issue de cette rencontre, la femme a affirmé avoir été soumise« à des «brimades» au sein du parti, n’ayant pas été convoquée aux réunions de la Comité exécutif de Catalogne « , malgré le fait qu’il occupe un secrétariat, et fait remarquer qu’il n’a pas non plus été notifié » d’aucun acte « . Précisément, la victime a tardé à dénoncer l’agression sexuelle en raison de la peur causée par le contrôle au sein du PP catalan que Le défendeur exerce, bien que d’autres affaires pourraient apparaître selon diverses sources. Le tribunal d’instruction numéro 30 de Barcelone a renvoyé l’affaire au TSJC à la fin de l’année dernière, car le défendeur est mesuré par son statut de député au Parlement, et, après Un rapport en faveur du parquet lors de la recherche de preuves d’un crime, une procédure a été ouverte pour entendre la déclaration de Serrano, qui est en quatrième position de la candidature du PP à Barcelone aux prochaines élections autonomes. Le secrétaire général du PP catalan compare Il a fait l’objet d’une enquête judiciaire à la mi-décembre et a expliqué que les relations sexuelles avec la victime étaient consensuelles, en plus de ne pas blesser la femme. L’enquête est toujours ouverte puisque le juge d’instruction a demandé de nombreux tests, tels que le déversement des messages entre l’accusé et la victime ainsi que des rapports médicaux. Après avoir pris connaissance de la nouvelle, le Secrétaire général du PPC, Daniel Serrano, a assuré dans un communiqué que « les faits sont faux et répondent à l’extorsion basée sur le chantage qui est rendu public au milieu d’une campagne pour éroder mon image. Je fais pleinement confiance à la justice « .

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