Les agents se sont occupés de Beatriz, qui a été la première personne à connaître chaque nouveauté
Les mandataires de la Police Judiciaire de la garde civile de Ténérife ont pris le même soin dans leurs recherches qu’à la mère des filles, Béatriz. Elle a toujours été au premier plan dans l’équation et a été la première personne à entendre des nouvelles, peu importe leur pertinence.
Du point de vue du respect et de la prudence, Beatriz a été rapidement informée des mesures policières et judiciaires que prenaient les enquêtes. Bien sûr, elle a été la première à savoir que le corps d’Olivia avait été retrouvé et aussi que la housse de couette et la bouteille d’air comprimé – premières trouvailles pertinentes avant de retrouver la fille plus âgée – lui appartenaient. Toms Gimeno.
Beatriz a minimisé l’apparence de ces deux objets et l’a attribuée à une prétendue manœuvre de distraction de son ex-mari. Jusqu’à ce que le Snar trouve sa fille aînée, il a maintenu que Toms s’était enfui avec les filles dans un pays lointain et que tôt ou tard quelqu’un les reconnaîtrait.
D’où les soins et les soins avec lesquels les enquêteurs ont impliqué Beatriz pendant le mois et demi qu’a duré la perquisition. D’où aussi la nécessité d’accompagner de preuves irréfutables les soupçons qui grandissent de minute en minute. D’où, en somme, la résignation qu’elle ne comprendrait peut-être jamais. Le snar a été une bouée de sauvetage à tous égards malgré le pessimisme initial quant à la difficulté de trouver ce qu’ils cherchaient dans l’océan.
Les enquêteurs continuent aux côtés de Beatriz car pour eux l’affaire est toujours ouverte sur la chaîne. Le constat de Olivier leur a insufflé un certain optimisme et maintenant ils envisagent avec plus d’intensité la possibilité de trouver Anne et avec Toms Gimeno pour fermer le triangle. Désormais, les agents partagent leur attention entre l’océan et le Institut d’anatomie médico-légale pour déterminer ce qui a causé la mort d’Olivia. Les résultats de l’analyse ADN intervenue au domicile du père des petites filles est un autre des piliers de ses recherches, même si pour l’instant rien n’a transpiré.
Sabine, fondatrice de Cakes Paradise, est diplômée en arts culinaires avec une spécialisation en pâtisserie d’une prestigieuse école hôtelière. Passionnée par l’idée de rendre la cuisine accessible et amusante pour tous, elle a lancé son site pour partager des recettes simples et savoureuses, adaptées aux rythmes de vie modernes.