Podemos durcit son attaque contre la presse pour «l'affaire Dina» et inculpe Vicente Valls

Samedi,
4
juillet
2020

17:05

Le leader de Podemos et vice-président du gouvernement, Pablo Iglesias, au Sénat.

EFE
  • Tribunaux.

    Pablo Iglesias reconnaît avoir gardé la carte Dina Bousselham pour éviter de mettre "plus de pression"

  • Une analyse.

    Le coup de feu de Pablo Iglesias dans «l'affaire Dina»

Une fois qu'il Affaire Dina Cela s'est compliqué devant les tribunaux et le comportement de Pablo Iglesias a été dénoncé pour avoir conservé pendant des mois la carte mémoire de son conseiller, Podemos s'est lancé dans la stratégie d'attaquer la presse pour avoir dénoncé l'affaire.

Hier, Pablo Iglesias l'a fait de manière très visible lors d'une interview à Radio Nacional et ce samedi Pablo Echenique a suivi ses traces avec une attaque personnalisée contre le journaliste d'Antena 3 Vicente Valls, qui a remis en cause son professionnalisme à l'instar de ce qu'a déjà fait son secrétaire général, qui l'a qualifié de "journaliste présumé".

"En réalité, ce qui arrive à Vicente Valls est simple et c'est la même chose qui arrive à tous les droits et à l'extrême droite: cela provoque une éruption cutanée que les égouts n'ont pas atteint leur objectif et United We are in the government", tire le porte-parole de On peut au Congrès sur Twitter, qui ajoute: "C'est leur droit, mais ne l'appelons pas" informatif "".

Echenique accompagne son message d'une vidéo pour le diffamer qui a été créée et publiée par le "medium" sponsorisé par Podemos et à l'adresse de Dina Bousselham, consultante pour la carte mémoire.

Ce n'est pas la première fois que ce site produit des vidéos et des informations pour dénoncer les journalistes qui ont critiqué Podemos ou qui le trouvent inconfortable. Ils l'ont déjà fait, entre autres, contre Carlos Alsina, ngels Barcel ou Ana Rosa Quintana.

Iglesias hier dans ses premières déclarations après le renversement de la Affaire Dina Il a reconnu avoir en effet conservé pendant des mois la carte mémoire du téléphone de son conseiller, où il avait des photos intimes, en sa possession. Le chef de Podemos a justifié que s'il ne le lui donnait pas auparavant, c'était pour ne pas provoquer "plus de pression".

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