Le tribunal des droits de l’homme souligne que le juge de l’époque de la Haute Cour nationale n’a pris aucune mesure pour clarifier les faits Les cinq accusés d’appartenance à Ekin, dont igo Gonzlez Etayo (à droite), lors du procès devant la Haute Cour nationale en 2016. EFE La Cour européenne des droits de l’homme …
