Un tribunal enquête sur le viol présumé d’un cadet dans les locaux de l’Académie militaire générale de Saragosse

Deux collègues du plaignant ont été arrêtés et plusieurs étudiants ont été appelés à témoigner en tant que témoins

Académie militaire générale de Saragosse.
Académie militaire générale de Saragosse.MINISTÈRE DE LA DÉFENSE

Le tribunal militaire n ° 32 de Saragosse enquête sur une violation présumée, dans les bureaux de la Académie militaire générale, dénoncé par un cadet de première année.

En tant qu’auteurs présumés deux compagnons ont été arrêtés du plaignant et une dizaine d’étudiants se sont déjà déclarés témoins devant les agents de la Garde civile qui dirigent la procédure en tant que police judiciaire.

Une fois que la cadette a donné une partie des faits à ses supérieurs, la plainte a été transférée aux bureaux judiciaires, suivant la position de «tolérance zéro» de la part de la Armée de terre en cas d’abus sexuel possible.

Le titulaire du Cour en robe militaire 32 Il a appelé le cadet et les deux compagnons à témoigner jeudi dernier pour commencer l’enquête sur l’affaire.

En parallèle, l’unité de la Garde civile rattachée audit tribunal a ouvert une enquête d’agression sexuelle et a déjà recueilli les déclarations de plusieurs cadets.

Les règlements de la Armée de terre Il facilite le signalement de tout cas de ce type tout en garantissant la protection de la victime présumée à travers les protocoles qui lui sont applicables et des conseils sont fournis par l’Unité de protection contre le harcèlement.

Conformément à ce règlement, les accusés ont été arrêtés dans le même Académie militaire générale et le cadet a reçu un soutien psychologique et juridique.

Ce samedi, ils font écho à la nouvelle Héraut d’Aragn Oui El Peridico de Aragn, qui, à son tour, citent Le confidentiel numérique, signifie que cela a révélé que le cadet est de la première année et qu’elle a récemment présenté la plainte dans laquelle elle accusait deux camarades de classe du même cours de l’avoir violée sous la douche de son camarade.

Face à cette accusation, serait le témoignage des deux enquêtés et celui d’un collègue qu’ils ont fait une déclaration et qu’ils se seraient assurés qu’il s’agissait d’une relation sexuelle consensuelle entre les trois et qu’il n’y avait pas d’agression ou d’abus sexuels.

Les faits dénoncés par le cadet de la Académie militaire générale de Saragosse ils peuvent être caractérisés par l’article 49 du Code pénal militaire, qui est passible d’une peine de six mois à trois ans de prison pour avoir commis des actes d’agression ou de sévices sexuels dans des unités militaires.